André Obey : « Jeux olympiques »

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Avant de se consacrer exclusivement à une importante œuvre dramatique, André Obey a été tour à tour journaliste, essayiste et romancier (Le Joueur de Triangle lui ayant valu le Prix Renaudot 1928). Ancien élève du Conservatoire de Douai, ce passionné de musique vibre aussi pour le sport et court le 400 mètres. En 1924, il assiste ébloui aux Jeux de la VIIIe  Olympiade, célébrés à Paris, qui lui inspirent L’Orgue du stade, magnifique hymne à l’athlétisme, admiré par Montherlant.

En 1948, envoyé spécial de l’Equipe aux Jeux de Londres, il écrit des chroniques et livre son point de vue d’écrivain très particulier dans les colonnes du journal.

L’Association des amis de l’INSEP, en collaboration avec l’Association Obey, a symboliquement saisi l’occasion du retour des Jeux à Londres pour rééditer l’ensemble des textes d’André Obey sur le sport dans un coffret de deux volumes sous le titre« Jeux olympiques » :

  • L’Orgue du Stade, augmenté de « Huit cents mètres », la transposition théâtrale du « Huit cents mètres de Paul Martin » est enfin réédité.
  • Londre 48 – Chroniques des Jeux, complété par un ensemble de textes magnifiques qui font revivre l’ambiance des hauts-lieux du sport.

L’œuvre d’André Obey a été classée au patrimoine littéraire national par arrêté de l’administration française le 10 août 2011

Pour tous renseignements contacter : pierre.simonet2@wanadoo.fr

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